17 janvier 2006
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"De PASQUIER on constate son étonnante et non exclusive familiarité aussi bien avec l'Ecole de Paris, qu'avec l'Art Informel ou l'Ecole de New York (...)".
17 janvier 2006
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"Il n'y a pas deux façons d'être soi-même il y en a mille, il n'y a donc actuellement qu'une façon de peindre : maîtriser ses nerfs et sa technique, connaître ses allergies et puisque si peu de maîtres contemporain ont daigné faire école, ignorer les autres en particulier et toutes les tendances en général, les plus gratuites comme les moins nulles, les possibles et les impossibles, enfin et surtout ignorer ou feindre d'ignorer les révolutionnaires académiques.
Ainsi l'on aura une faible chance de s'exprimer en dehors de toute contrainte sans ce soucier d'être dépassé, actuel ou visionnaire - c'est ce que font Noël et Clotilde PASQUIER -, quant est de les différencier je dirai que c'est un peu comme en optique, un changement de focale sur la même plaque car il vivent et peignent si près l'un de l'autre que leurs quatre yeux sont devenus interchangables comme ceux d'un animal fabuleux".
Ce texte est repris intégralement dans l'ouvrage de
Gilles Verlant, biographe de Serge Gainsbourg, édité chez Albin MICHEL en 1985 et réédité de nombreuses fois depuis :
"Bon camarade, Serge signera la préface d'une des expos montées par Pasquier et sa femme Clotilde, à la galerie Rond-Point Elysées en 1968".
4 janvier 2006
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"Noël PASQUIER est l'auteur d'une œuvre discrète, mais profonde et protéiforme. Sculptures et peintures oscillent avec bonheur de la figure à l'abstraction".
1 janvier 2006
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"Il y a du soleil dans le bleu. Un souffle d'iode qui vient de l'océan. Du blanc écume.
De l'énergie. Abstraits ou figuratifs, ses tableaux, collages, dessins… illustrent les différents aspects du talent d'un artiste dont l'œuvre est désormais connue à travers le monde".
1 janvier 2006
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"La mer, de sa violence à ses caresses.
Une abstraction libre mais parfaitement structurée, dans le mouvement même de la nature. On retrouve chez Pasquier la force du mouvement et l'envolée du geste. Une peinture du plaisir".